Après Libération, c’est Télérama qui joue la carte de la provocation et tombe dans le panneau du cliché en associant Batman aux maux de notre societé. Peu importe le contenu de l’article (pas lu au moment où j’écris ces lignes), c’est la couverture qui blesse avec un raccourci journalistique racoleur et stupide. Télérama tire sur les geeks pour vendre quelques numéros supplémentaires, c’est triste et imbécile, le mal est fait, le ver est dans la pomme, le magazine a vendu son âme pour de mauvaises raisons.

Comme le dit Philippe d’Arkham, c’est la societé qui est violente, pas les mondes imaginaires.

Honte à toi Télérama.